Tous mobilisés pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes !
La réalité nous rattrape une nouvelle fois. La vidéo que nous partagions récemment n’est déjà plus à jour. Nathalie, 52 ans, a été retrouvée chez elle, poignardée. Son ex-mari s’est ensuite donné la mort. Un scénario terriblement violent, qui s’ajoute à une longue liste de drames trop souvent annoncés.
Ce n’est pas un fait divers. C’est un féminicide. Un de plus.
Et comme à chaque fois, ce sont une vie fauchée, une famille dévastée, des proches sidérés.
Nommer les choses, parce que minimiser tue aussi
Il y a des sujets que l’on manipule avec précaution, par peur d’en dire trop ou de choquer. Mais quand il s’agit de violences conjugales, arrondir les angles revient à laisser l’ombre gagner du terrain. Les mots doivent être clairs, même lorsqu’ils font mal.
Ces violences ne sont ni des disputes de couple, ni des problèmes privés.
Elles tuent, elles isolent, elles enferment. Elles détruisent des femmes de tout âge, à tous les niveaux de vie.
À Saintry, des portes s’ouvrent pour vous protéger
Face à cette réalité, il est essentiel de rappeler qu’il existe des lieux où l’on peut demander de l’aide sans se mettre en danger.
À Saintry, le CCAS est un point d’appui discret et fiable.
Si vous vivez une situation de violence, si vous craignez pour votre sécurité ou celle de vos enfants, vous pouvez pousser la porte de la mairie. Vous y serez accueillie en toute sécurité, sans éveiller les soupçons de votre conjoint. Parfois, c’est ce premier pas qui change tout.
Vous n’êtes pas seule
Personne ne mérite de vivre dans la peur. Personne ne devrait avoir à choisir entre se taire ou risquer sa vie.
Parler est difficile, mais possible. Et surtout : vous serez entendue.
Si tu veux, je peux aussi ajouter un encadré avec les numéros d’urgence, les liens d’aide ou un call-to-action plus visible pour un site web.
